Sviluppare le competenze comunicative utilizzando metodologie integrate corrispondenti al livello B2 del Quadro di riferimento europeo, attraverso l’utilizzo di documenti autentici, (cartacei, sonori, video).
Introdurre e analizzare le diverse tipologie testuali per una presentazione progressiva delle specificità del discorso; introdurre le principali teorie della traduzione per lo sviluppo di una consapevolezza della prassi traduttiva con l’ausilio di approcci contrastivi.
Livello di Lingua pari a A2+/ B1 del Quadro di riferimento europeo.
Obbligatoria
A (4 CFU) - Fonetica, Morfosintassi, Studio dei Principali verbi irregolari e dei verbi regolari, Esercitazioni sulle abilità ricettive e produttive (scritte e orali) di tipologie diversificate al fine di raggiungere il livello B2.
B (2 CFU) - Riflessioni sulla traduzione: teorie e prassi attraverso esemplificazioni contrastive e esercitazioni di difficoltà graduata.
A) Lingua
- S. Poisson-Quinton, Reine Mimran, Michèle Matéo-Le Coadic, Grammaire expliquée du français, (exercices) niveau intermédiaire, CLE International, Paris, 2002.
- C. Dollez, S. Pons, Alter ego 4 (livre+cd audio+ cahier d’activités) Paris, Hachette, 2007.
B) Traduzione, Teorie e prassi
- M. Guidère, Introduction à la traductologie, Bruxelles, De Boeck, 2010 (capitoli: 2/3/5/6).
- Dossier con una selezione di diverse tipologie testuali e alcune esemplificazioni di traduzione contrastiva.
Il Materiale didattico, i documenti, le informazioni, sono sistematicamente inseriti sulla piattaforma Studium.unicit.it sia dal docente che dai collaboratori ( lettori madrelingua)
* | Argomenti | Riferimenti testi | |
1 | * | conoscenza della morfologia, della sintassi, competenza nelle abilità ricettive, produttive di livello B2 | |
2 | * | conoscenza delle principali tipologie testuali | |
3 | conoscenza delle teorie della traduzione | ||
4 | prassi traduttiva |
Per la valutazione dell'esame si terrà conto della padronanza dei contenuti e delle competenze acquisite, dell'accuratezza linguistica e proprietà lessicale, nonché della capacità argomentativa dimostrata dal candidato.
Verifiche in itinere scritte e orali per l’accertamento dei progressi nella morfosintassi, nel lessico, nella traduzione, nella produzione scritta e nell’esposizione orale.
Le tipologie esemplificative sono inserite sulla piattaforma Studium
Prova scritta;
Prova orale.
Prove di diversa tipologia: versione, traduzione, morfosintassi, comprensione orale e scritta, composizione, esposizione orale.
Per la valutazione dell’esame si terrà conto della padronanza dei contenuti e delle competenze acquisite, dell’accuratezza linguistica e proprietà lessicale, nonché della capacità argomentativa dimostrata dal candidato.
Le tipologie di prove sono inserite sulla piattaforma Studium
COMPRÉHENSION ÉCRITE
(ET VERSION)
Le difficile retour des expatriés
Les raisons du départ à l’étranger sont nombreuses : études, travail, vie sentimentale. En 2013, nous nous intéressions déjà à l’envie d’ailleurs des jeunes français. On estime que 2 à 3,5 millions de Français résident à l'étranger.Pour diverses raisons, les parlementaires se sont également saisis du sujet. En 2000, le sénateur Jean François-Poncet rédigeait un rapport d’information dans lequel il notait un phénomène en accélération. En 2014, l’Assemblée nationale se saisissait du sujet via une commission d’enquête parlementaire sur "la fuite des cerveaux". Mais leur retour? Sait-on combien de Français décident de rentrer ? Quels sont leurs profils, leurs parcours ? Le sujet intéresse beaucoup moins. A tel point que les expatriés sont confrontés à de nombreux obstacles au moment de revenir en France. Les témoignages autour de "l'impatriation" ont en commun une appréhension du retour et des tracasseries administratives dont l'ampleur augmente avec l’"originalité" administrative de la famille.[…]
(Abdelhak El Idrissi, France culture, 11-06-2016)
1) Quelle est l’organisation de l’article?
2) Quelle est la typologie dominante de ce texte ?
Compréhension du texte-source |
Réponses aux questions de la CE |
4/8 |
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8/30 |
Respect du sens global du T-S |
3/8 |
|
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Traductiondutitre |
1/8 |
|
||
Qualité de l’expression |
Clarté |
3/8 |
|
8/30 |
Souplesse |
3/8 |
|
||
Précision |
2/8 |
|
||
Cohésionstylistique |
Registre de langue |
2/4 |
|
4/30 |
Transphrastique |
2/4 |
|
||
Grammaire |
Correctionorthographique |
2/4 |
|
4/30 |
Correction morphosyntaxique |
2/4 |
|
||
Médiationlinguistique et culturelle |
Traitementdesexpressionsidiomatiques |
1/6 |
|
6/30 |
Solutions aumanqueculturel |
2/6 |
|
||
Créativitédessolutions |
3/6 |
|
Pertinence des réponses |
6/30 |
|
Exemplification |
3/30 |
|
Compétence en linguistique textuelle |
6/30 |
|
Correction grammaticale |
6/30 |
|
Etendue lexicale |
3/30 |
|
Cohérence et cohésion |
3/30 |
|
Capacité à argumenter |
3/30 |
|
TRADUCTION
La lingua parlata è una brutta copia della lingua scritta?
Un luogo comune molto diffuso, con ampie ricadute sull'insegnamento in generale e su quello delle lingue straniere in particolare, è che la lingua parlata sia una versione di lingua inferiore a quella scritta. Contemporaneamente, e contraddittoriamente, nella communisopinio la lingua scritta è semplicemente la lingua parlata messa per iscritto.
L'idea di base è che la lingua parlata sarebbe scorretta, incoerente, difettosa, illogica e così via. Da un punto di vista linguistico, la tesi è chiaramente indifendibile per almeno due ragioni. La prima è che tutte le lingue letterarie sono state parlate per almeno decine di migliaia di anni prima che venissero scritte: come è possibile allora che delle forme linguistiche così grossolane abbiano dato origine a lingue così "logiche", "corrette", "coerenti", ecc.? La seconda è che se lingua parlata e lingua scritta fossero veramente due lingue diverse, dovrebbero avere grammatiche diverse; tuttavia, all'osservazione linguistica non si riscontra alcuna differenza nelle regole grammaticali che esse seguono.
http://host.uniroma3.it/docenti/svolacchia/3.pdf
Nom __________________________ Prénom_____________________
Traduction |
Compréhension du texte source |
3/13 |
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13/30 |
Approche sourcière |
3/13 |
|
||
Médiation linguistique et culturelle |
7/13 |
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Langue française |
Grammaire |
8/17 |
|
17/30 |
Orthographe |
2/17 |
|
||
Lexique |
3/17 |
|
||
Absence d’italianismes |
4/17 |
|
Nom :_____________________________
Prénom :___________________________
N° matr :_____________________
COMPRÉHENSION ORALE
1. Lisez rapidement les questions
2. Écoutez une première fois le document enregistré sans faire les activités
3. Relisez rapidement les questions
3. Écoutez une deuxième fois pour faire les activités
4. Écoutez une dernière fois pour compléter les activités
Nom__________________________ Prénom_____________________________
COMPRÉHENSION ORALE
1. Lisez rapidement les questions
2. Écoutez une première fois le document enregistré sans faire les activités
3. Relisez rapidement les questions
3. Écoutez une deuxième fois pour faire les activités
4. Écoutez une dernière fois pour compléter les activités
1/ Quel est le sujet principal de cet entretien ?
……………………………………………………………………………….………........................... ………………………………………………………………………………………………….……… …/3
2/Erik Orsenna : quel est son rapport avec les SMS ? (Cochez la bonne réponse)
3/Combien de SMS envoie-t-il en moyenne par jour à son entourage ?(Cochez la bonne réponse)
4/ D’après Erik Orsenna, l’usage des SMS renforce-t-il la maîtrise de la langue?
5/ Selon E. Orsenna, qu’est-ce qui a changé dans notre société depuis 15 ans par rapport à la maîtrise de la langue ?
…………………………………………………………………………………………………………… … / 3
…………………………………………………………………………………………………………...
6/ Qui est de plus en plus touché par ce phénomène ?
7/ À quels risques s’expose de nos jours un jeune qui ne maîtrise pas la langue écrite de sa communauté ?
(2 réponses attendues).
…………………………………………………………………………………………………………. … / 4
………………………………………………………………………………………………………….
…./ 20
Nom__________________________ Prénom____________________________
DICTEE-COMPOSITION
1. Écoutez (avec pauses prévues) et faites en même temps l’exercice à trous
2. Réécoutez pour relire et/ou compléter éventuellement les trous (pas de pauses prévues)
3. Relisez votre copie et RENDEZ-LA IMMÉDIATEMENT aux correcteurs.
Erik Orsenna : Il y a un grand mot quand même de la langue française, c’est « l’usage ». Alors, on peut soit avoir le bon usage, le mauvais usage, mais c’est d’abord l’usage. Moi, je vois dans tous ces outils …………………………………………………………..., mais en même temps un grand rendez-vous. Un rendez-vous terrible …………………………
………………………………………….parce que, jusqu’à une date relativement récente, ……………………………, quelqu’un qui ne maîtrisait pas …………………………………………………………., pouvait encore trouver un emploi. Ce n’est plus le cas. Tout est écrit et tout passe par des écrans.
Donc, le drame c’est que, …………………………………………………………… qui ne maîtrisent pas la langue - on dit 15-16 % en sixième, en fait, c’est plus, ça doit être 17-18 %. Surtout, ça se dégrade d’année en année, il y a des tas de gens qui sont privés de cette maîtrise de la langue.
… /10
Note finale : … / 30
EPREUVE DE SYNTAXE
De l’oral à l’écrit
L’opposition entre langage écrit et langage oral a longtemps été une affaire de lutte entre la langue du bon français, l’écrit, et la langue du mauvais français, le parlé. Cette dichotomie renvoie également à la distinction des classes sociales : la langue écrite réservée aux « riches » et la langue parlée « aux pauvres ». Quelle est la légitimité d’une telle opposition ? La langue écrite est-elle radicalement distincte de la langue parlée ? Pourquoi aujourd’hui encore, nombreux sont ceux qui considèrent que la langue s’identifie dans sa forme écrite ? En témoignent les évaluations nationales réalisées chaque année en ce2 et en 6e et qui considèrent la maîtrise de la langue uniquement dans sa modalité écrite. Pourtant, la langue existe bien avant que l’on ne l’écrive et le langage oral occupe une place prépondérante y compris dans nos sociétés modernes.
En tant que mode d’expression, la langue orale apparaît plus naturelle que la langue écrite. Plusieurs raisons sont avancées : la première est l’universalité de la parole en ce que toutes les sociétés communiquent oralement alors que nombreuses sont celles qui n’ont pas de système de référence écrit ; la deuxième renvoie à la primauté de la parole. La langue orale est le mode fondateur de nos communications alors que le système d’écriture en est un moyen d’expression dérivé. La troisième raison concerne les aspects développementaux : le processus d’acquisition du langage oral est naturel et quasi irrépressible tandis que le langage écrit est le fruit d’un apprentissage scolaire spécifique. Enfin, la dernière souligne la prédisposition biologique spécifique pour la parole, ce qui ne semble pas être le cas pour l’écrit. L’écrit utilise certaines de ces ressources, mais il en engage d’autres, non destinées à des fins langagières. Selon le linguiste Hagège, l’être humain semble prédisposé biologiquement à devenir « un homme de parole » qui deviendra éventuellement mais pas nécessairement « un homme de l’écrit ».
Eric Bidaud, De l’oral à l’écrit
EPREUVE DE SYNTAXE
Nom________________________________________ Prénom____________________________
COMPOSITION
Un sujet au choix :
Sujet 1 : (avec support) : Les spécificités du langage oral contribuent-elles à l’enrichissement de la langue ? Argumentez en présentant le français conversationnel et ses dérivés.
Sujet 2 : Les grands ensembles font partie du paysage urbain depuis les années soixante du siècle dernier mais, de nos jours, on a tendance à remettre de plus en plus en question ce genre d’architecture. Représentent-ils donc encore l’avenir de l’urbanisme ?
Introduction |
3/30 |
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Développement: Arguments (4/30) Exemples (4/30) |
8/30 |
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Cohérence |
5/30 |
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Lexique et orthographe lexicale |
4/30 |
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Syntaxe et orthographe grammaticale |
4/30 |
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Emploi de structures complexes |
2/30 |
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Clarté et lisibilité |
2/30 |
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Conclusion |
2/30 |
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Note finale ......../30